Le Pacte des Marchombres VS l'Ordre des Envoleurs |
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Alaia Tendor Groupe Nudii
Nombre de messages : 420 Citation : Tout ce que tu ne prends pas ne t'appartient pas de droit Date d'inscription : 10/05/2013
Feuille de personnage Age: 27 ans Greffe: Non Signe particulier: Eden, son chat en pleine croissance; ne sait ni lire ni écrire
| Sujet: Entrainement Mer 15 Mai 2013, 21:58 | |
| Son passé en détail, ce qui me permet aussi de m'entrainer à manier ce personnage L'assassinat - Spoiler:
Ses pas se faisaient plus légers alors qu’elle apercevait enfin la chaumière de ses parents. De la fumée s’élevait en fines volutes de la cheminée, promesse d’un bon petit plat de sa mère à venir. Une lumière jaune filtrait à travers les interstices des volets et de la porte, éclairant faiblement les alentours proches de son but et soulignant les ombres du chemin qui la ramenait chez elle. Tout autour de l’édifice, les plaines étaient tachées des ombres familières des coureurs endormis. L’odeur de tous ces animaux qui avaient entourés son enfance lui parvint, réveillant en elle une vague nostalgique et une fierté qu’elle ne connaissait pas. Elle revoyait sa petite sœur se cacher derrière ses jambes pour approcher ni vue ni connue ces immenses animaux qui entouraient sa demeure depuis bien avant sa naissance. « Elle doit avoir bien grandit et changé en 5 ans » pensa-t-elle, émue et d’autant plus impatiente de retrouver sa famille, la tête haute et les mains emplies du savoir du bois. Elle accéléra, couru presque jusqu’à l’entrée et ne s’arrêta que la main sur la porte. Alors qu’elle reprenait son souffle, elle hésita, se demandant quelle était la meilleure conduite à adopter maintenant qu’elle rentrait enfin après s’être littéralement enfuie de chez elle. « Tout dépendra de leur accueil… moi, je n’ai rien à regretter » décida-t-elle enfin. Elle inspira à fond et tourna la poignée. La porte s’ouvrit avec un grincement qu’elle ne lui connaissait pas et elle eut un pincement au cœur… Qui savait ce qui avait pu se passer en… 5 ans. Toutes ces années qui avaient passées si vite, emportée par la folie de sa jeunesse et sa studieuse application lui semblaient aujourd’hui comme autant de siècle. Elle se troubla puis se décida enfin à avancer, ouvrant complètement le battant de la porte. Elle se figea. L’exclamation joyeuse qu’elle avait préparée mourut sur ses lèvres et avec elle le bonheur de ces 21 premières années. Devant ses yeux hagards se déroulait un spectacle digne de ceux que l’on raconte lors des veillées sombres de l’hiver. Son père, tranquillement assis sur le grand fauteuil devant la cheminée, tournait son regard aveugle vers la porte d’entrée qui s’était ouverte sur sa propre mort. Ses cheveux bruns tombaient sur son visage carré mais rien n’aurait pu masquer la longue flèche qui dépassait de son front, clouant son visage sur le dossier et lui donnait une posture presque naturelle. Son sang soulignait la courbure de son menton et tombait en gouttes fluides sur son torse qui se colorait déjà de vermeil. Alaia admira un instant ce spectacle, hypnotisée par la danse de la lumière qui donnait à ces perles écarlate l’aspect de joyaux. Un souffle rauque sortit de sa poitrine et la tira de sa transe malsaine. Elle tourna sa tête à gauche vers l’âtre au-dessus duquel mijotait une soupe de légumes frais et chercha un instant sa mère des yeux avant de la trouver, clouée au mur par le trait qui traversait sa poitrine. La tête masquée par une cascade noire, les mains encore serrée convulsivement sur la louche en bois, elle avait sans doute vu la mort de son mari avant que la sienne ne la rattrape. Sa robe autrefois d’un blanc douteux se colorait progressivement de rouge, trempant son corps dans un fluide vital qui fascinait Alaia. Un sanglot la tira de sa rêverie macabre, ramenant son attention derrière la porte où elle trouva sa sœur, agenouillée sur le sol au pied d’un archer vêtu de sombre qui la tenait en joue. Elle leva son visage baigné de larme vers sa grande sœur, la suppliant du regard de la permettre de se réveiller de ce qu’elle considérait comme un cauchemar. Mais ladite sœur, encore sous le choc de son accueil glacial, ne pouvait que la regarder d’un œil vide où tournoyait pourtant une lueur animale. Elle finit par lever ses yeux de sa petite sœur pour chercher une réponse dans les yeux cobalt de l’assassin de sa famille. Celui-ci lui rendit un regard amusé, se réjouissant de sa stupeur et du gouffre qu’il voyait s’ouvrir en elle. Son visage à moitié caché par un masque de tissus noir s’étirait en un large sourire de prédateur et sa bouche apparente lui souffla un mot avant que sa main ne lâche la flèche qui condamnait Amy. « Coupable. » Le mot sonna comme un glas pour la jeune femme qui vit de ses yeux ébahis le trait mortel transpercer la fragile tête blonde qui trottinait allègrement entre ses jambes… Autrefois. Le visage encore baigné de larmes, Amy s’écroula comme une fleur coupée, ses yeux morts fixant une dernière fois sa grande sœur impuissante. L’archer la contourna alors qu’un frisson d’horreur finissait par l’animer et l’assomma d’un coup précis sur la tempe. Un voile noir déroba à sa vue le spectacle de sa famille assassinée et lui apporta un oubli dans lequel elle se hâta de sombrer. A son réveil, elle tenait dans la main un large couteau à la lame rougit qu’elle s’empressa de jeter au loin, dégoutée. Elle balaya la pièce du regard, cherchant une infime incohérence qui lui confirmerait que ce n’était qu’un rêve et tomba sur les cadavres affreusement mutilés de ses parents. De larges blessures s’ouvraient désormais sur leur corps, signe d’une folie meurtrière, à milles lieues de la sobre et implacable technique de tir qui l’avait fascinée. Elle se leva d’un bond, le cœur vacillant et l’estomac au bord des lèvres et quitta à toutes jambes ce lieu de cauchemar, comme si la vitesse pouvait détacher ces souvenirs macabres de son corps parcourut de frissons.
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| | | Alaia Tendor Groupe Nudii
Nombre de messages : 420 Citation : Tout ce que tu ne prends pas ne t'appartient pas de droit Date d'inscription : 10/05/2013
Feuille de personnage Age: 27 ans Greffe: Non Signe particulier: Eden, son chat en pleine croissance; ne sait ni lire ni écrire
| Sujet: Re: Entrainement Sam 18 Mai 2013, 08:21 | |
| La fuite - Spoiler:
Une fois l'énergie formidable de l'adrénaline épuisée, elle tomba comme une pierre et pleura tout son saoul face contre terre, ignorant la terre et les gravillons qui maculaient son corps. Elle continua pourtant à avancer à quatre pattes, rampant presque, alors que sur ses mains et ses jambes fleurissaient des marques sanglantes. Elle finit par arriver à une allure d’escargot près d’un amas de roches dont elle se servit pour se relever, chancelante, avant de reprendre son chemin à petits pas mal assurés. Une heure après son départ précipité, Alaia distingua enfin les portes d’Al-Vor. La vue de cette masse sombre lui tira une grimace tant la ressemblance avec le soulagement éprouvé quelques temps auparavant était grande. Une fois arrivée à un croisement devant les portes, elle s’engagea sur le chemin de gauche. Il n’y avait nul salut à espérer de la ville fermée jusqu’à l’aube, elle se dirigeait donc vers la demeure d’Aodren. Après dix-minutes d’une marche qui lui sembla hors du temps, elle frappa enfin aux volets de la chambre de son meilleur ami. A peine eut-il posé les yeux sur le visage noyé par les larmes de son amie que ses yeux endormis s’illuminèrent d’une lueur claire comme l’eau et il la fit entrer, terriblement inquiet de la trouver dans cet état. Il écouta attentivement son récit entrecoupé de hoquets et sanglots en lui caressant les cheveux et la laissa reprendre ses forces sur son lit alors qu’il se précipitait vers le poste de garde. Accompagné de ceux-ci, il découvrit le macabre spectacle dont il n’avait eu que la description et versa lui aussi quelques larmes pour Alaia dont la vie n’avait tenue qu’à un fil. Il discuta tout le reste de la nuit avec les soldats, tentant tant bien que mal d’innocenter son amie de toujours. Prétextant vouloir réfléchir à tête reposée, il rentra chez lui à toute vitesse et secoua celle qui occupait son lit. « Vite ! Lève-toi ! Les gardes vont arriver dans quelques heures pour t’amener chez le juge. Ils te croient coupable, il faut que tu fuies ! - Moi ? Mais… - Ne t’inquiète pas, je leur dirai qu’à mon retour tu étais déjà partie. Ca n’aidera pas à prouver ton innocence, loin de là, mais ils croient dur comme fer que tu as cédé à la colère et que… » Il se tu, le cœur serré, revoyant devant lui le cadavre de la fillette dont le crane ouvert dévoilait la cervelle qui se rependait sur le sol. Voyant dans ses yeux le même spectacle, il la prit en pitié et chassa sa fatigue. Il raffermit sa détermination et l’aida à passer par la fenêtre avant de la conduire jusqu’aux abords de la forêt proche où il la laissa continuer seule. « Je dois rentrer et toi tu dois vivre. Cours et bonne chance ! » Il la prit dans ses bras pour lui insuffler ses dernières forces et retourna sur ses pas une fois qu’il en put plus l’apercevoir entre les troncs et les branches des feuillus. Des heures durant, elle marcha, enjambant les racines des arbres centenaires, griffées de toutes parts par les branches hostiles qui étaient comme autant de bras qui voulaient la serrer contre l’écorce humide. Le feuillage épais de la forêt Baraï dérobait à sa vue le chemin parcourut, la lumière du soleil et même l’horizon. L’après-midi, elle trouva une source où elle s’abreuva et lava ses plaies, observant d’un œil expert leur état et décidant finalement qu’elles guériraient en quelques jours. Près d’elle poussaient des framboisiers qu’elle dépouilla de leurs fruits sans se soucier de leur triste état. La faim la tenaillait depuis des heures et malgré son frêle repas elle se trouva mieux. Les idées claires bien qu’obscurcies par son triste sort, elle prit la route d’un air décidé, guidée par son instinct de survie. Quelques heures plus tard, elle tomba sur un chemin forestier plus emprunté par les animaux que par les hommes et le suivi quelques temps. La nuit tomba d’un coup et la pris par surprise, l’obligeant à s’arrêter dans une clairière proche. Après de multiples essaies, elle abandonna l’idée de faire un feu et grelotta dans ses vêtement déchirés à de multiples endroits. Soudain, un bruit la fit sursauter et elle retint sa respiration, tentant de localiser sa provenance. Il recommença avec plus d’insistance, annonçant la venue d’une petite tête ronde qui surgit des broussailles, le museau plissé. Le chaton miaula, visiblement à la recherche de la protection maternelle. Elle se redressa et s’approcha, les mains ouvertes et la voix calmes, dans la même attitude de confiance et de modestie qu’elle adoptait devant les plus jeunes coureurs. « Viens ici mon tout beau, murmura-t-elle d’une voix calme, approche, n’aie pas peur. » Il la localisa et la regarda avancer vers lui, les oreilles tendues et les yeux emplis de curiosité. Il s’approcha prudemment, près à détaler au moindre signe d’agressivité de sa part. Elle s’accroupit et tendit ses mains, le regard soudain lointain, et le laissa faire les derniers mètres qui les séparaient à son rythme, sachant très bien que si elle l’observait de face elle perdrait le seul être vivant amical de cette sombre forêt. Elle s’obligea à rester calme et se concentra sur sa respiration comme le lui avait conseillé son père à ses débuts. Son père… Elle retint un frisson et passa en revue ce qu’elle savait sur les chats pour se changer les idées. Si elle avait depuis très longtemps fréquenté les doux chats des fermes alentours et les méfiants matous de la ville, elle ignorait tout de la manière d’en prendre soin. Elle décida fermement de suivre les conseils animaliers de son p… professeur. Il finit par lui lécher les doigts, cherchant probablement les dernières traces de son repas de ca midi. Elle mit ses mains à plat et attendit une fois encore qu’il s’y blottisse. Elle s’éleva doucement et le regarda enfin dans les yeux, ses magnifiques yeux d’un bleu aussi profond que les siens. Oui, ils allaient bien s’entendre, elle le sentait. Elle le conduisit à son nid de mousse au creux des racines en bordure de clairière et chercha des yeux un arbre fruitier pour rassasier le petit affamé qui l’avait rejoins. Elle finit par dénicher un pommier aux fruits à moitié mangés par les oiseaux et s’empara de ceux qui se trouvaient sur les branches les plus basses. Elle les lui présenta, incertaine de sa réaction et ne fut qu’à moitié surprise de le voir rejeter cette nourriture peu à son gout. « Désolée mon grand, mais si tu veux autre chose il va falloir attendre demain… » Fit-elle en l’enveloppant dans ses bras pour le tenir au chaud. Il se mit à jouer avec son doigt, visiblement moins fatigué qu’elle et le mordilla, faisant perler une goutte de sang qu’il se mit à lécher avec application. Sous le coup de la douleur, elle tourna la tête vers lui et haussa les épaules quand il lui présenta la petite coupure. « Au point où j’en suis, sers-toi, ce n’est pas une de plus ou de moins qui va me tuer… Eden. » Le choix de ce nom lui tira un sourire. Espoir et Paradis… tous deux perdus dans une forêt hostile, fuyant la mort qui étaient à leurs trousses et ayant tout deux perdu leur famille… Quelle ironie !
Le lendemain, à peine l’aube levée, elle se redressa soudain sur sa couche. Un grognement l’avait tirée de son demi-sommeil et elle se redressa, calmant d’une caresse son chaton qui s’agitait dans ses bras, peu rassuré lui aussi. Quand le bruit se rapprocha, elle n’hésita pas une seconde et se leva d’un bond pour escalader le gardien de son sommeil, se rappelant fugitivement les concours d’escalade qu’elle organisait avec Aodren, une éternité plus tôt.
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| | | Alaia Tendor Groupe Nudii
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Feuille de personnage Age: 27 ans Greffe: Non Signe particulier: Eden, son chat en pleine croissance; ne sait ni lire ni écrire
| Sujet: Re: Entrainement Mer 22 Mai 2013, 18:29 | |
| rp avec Shan dans la forêt de Barail: https://ecoledesmarchombres.1fr1.net/t3589-premier-contact#60988Présentation: - Spoiler:
Les couloirs étaient sombres et la lourde décoration les rendait étouffants, intimidant, même, pour elle qui n’avait toujours vécu que dans le plus stricte dépouillement. Mais ce n'était rien à côté de l'intendance. Les énormes meubles sculptés présentaient des milliers d’yeux qui l’observaient dans l’ombre avec désapprobation comme pour l’encourager à fuir cet endroit lugubre. Les livres qui l’entouraient présentaient tous des couvertures avec des incrustations de métal qui rendaient leurs titres luisants tels des esprits malsains. D’épais rideaux couvraient les fenêtres et ressemblaient selon elle aux barreaux d’une immense cage dorée. Une cage qui, malgré le luxe dont elle se parait, n’était rien en comparaison de se occupant. L’intendant était terrifiant, taillé dans un roc aux contours anguleux et grand comme un chêne. La couleur sombre de sa tunique la faisait se fondre dans son environnement, en revanche, nul ne pouvait ignorer ses yeux qui rougeoyait dans l’ombre et la fixait avec mépris, semblant se demander ce qu’un poulet comme elle venait faire dans un repère de fauve. Des cheveux aile de corbeau encadraient un visage carré dont la mâchoire proéminant grimaçait avec dédain. Elle aurait tellement aimé que Shan l’accompagne ! Avec son sabre et son arc, il la rassurait même si elle était amplement consciente que ce n’était qu’un amateur face à l’envoleur qui lui faisait face. Contrairement à son guide, il dégageait une fureur animale et une noirceur qui semblait nier à la lumière le droit d’exister. Il correspondait beaucoup plus aux mercenaires des légendes et elle eut un frisson qui mêlait à la foi peur et admiration. Impatience surtout. S’i étaient vraiment tels qu’on les lui avait décrits, elle était à l’endroit idéal pour s’entrainer.
« Prénom, nom » « Alaia Tendor » « Age » « 21 ans » « Lieu de naissance » « Al-Vor »
D’un regard, il nota mes caractéristiques physiques avant de m’attribuer une paillasse. Il se leva sans un mot et sortit sans un regard. Elle hésita un instant avant de le suivre au trot. Il profitait manifestement de sa haute stature pour la faire courir, montant et descendant une foule d’escaliers dans le but évident de la perdre en chemin. Quand ils passèrent deux fois devant la même porte ouvragée, elle se fit la réflexion qu’il espérait sans doute qu’elle abandonnera et elle serra les dents, le suivant malgré tout. Ils finirent par arriver devant une porte sans fioriture d’aucune sorte et il la poussa avec assurance. Ils étaient dans un dortoir, sans doute exclusivement féminin au vu des vêtements qu’elle apercevait. La plupart des lits étaient adjacent à une petite table de chevet qui contenait un rangement mais la paillasse devant laquelle il l’amena n’était un tas de paille disposé à même le sol et dont le seul luxe était la présence d’un sac rempli de son et dont l’utilité semblait évidente. Elle grimaça intérieurement en songeant à la vermine qui croupissait très certainement là-dedans et se rassura elle-même en observant que la paille avait l’air fraiche. Il lui tendit une tunique grise terne en remplacement de celle usée qu’elle avait toujours sur le dos et qu’il avait manifestement trouvé dans une grande armoire et l’abandonna au pied de sa couche, toujours en silence et elle vainement du coin de l’œil une trace de sentiment quelconque. Elle soupira en laissant sortir Eden de son sac. Il avait été sage même si la tête qu’il fit en sortant l’informait de ce qu’il lui en avait couté. Elle le remercia d’une caresse de s’être tenu tranquille et s’installa vaguement dans son nouveau lotit, plaçant ses affaires les plus banales telles que ses nippes sous son oreiller et conservant le reste dans son sac, certaine que sinon elles lui seraient volées très vite par les occupantes de ce lieu qui allait très probablement la regarder avec cette même expression de dégout que l’intendant.
cours n°1 avec Gracieuse et Lewan en salle d'entrainement: https://ecoledesmarchombres.1fr1.net/t3596-groupe-nudii-cours-n1#61079cours n°2 avec Gracieuse à Al Vor: https://ecoledesmarchombres.1fr1.net/t3729-groupe-nudii-cours-n2rp avec Pan, près des Ecuries: https://ecoledesmarchombres.1fr1.net/t3698-tout-ce-qui-est-petit-est-gentil-tout-ce-qui-est-grand-est-charmant-pv-panrp avec Rilend au bord du lac Chen: https://ecoledesmarchombres.1fr1.net/t3878-quelques-entrechats-entre-chats-perches-rilendrp avec Entro' à la jonction entre le lac et les Dentelles Vives [abandonné, non compté dans son histoire]: https://ecoledesmarchombres.1fr1.net/t3868-c-est-a-la-vie-et-non-a-la-mort-que-doit-aller-notre-respect-entropyriusrp avec Darwen, Zoanne et Crystal au pied des Dentelles: https://ecoledesmarchombres.1fr1.net/t3968-nuit-d-orage-zoanne-alaia-darwencours n°3 avec Gracieuse chez nos amis les Raïs! https://ecoledesmarchombres.1fr1.net/t3875-groupes-nudii-cours-n3Une petite promenade près d'Al Vor durant laquelle elle croisa Nais et Pan https://ecoledesmarchombres.1fr1.net/t3963-par-une-nuit-sans-lune-pan-et-libre |
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